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*** Aarya il la modelait avec l’habileté d’un artisan sculptant ses muqueuses de la pointe de sa langue.
D’un clic de la télécommande l’indienne changea à nouveau le rythme des vibrations. Les vagues douces et profondes résonnaient en elle en lui réchauffant le ventre.
Aarya expira, Matthew la pourléchait à grand bruit mouillés sous la lumière clignotante de la caméra.
Elle senti la langue s’aventurer en elle, descendre sa cavité, longer la cordelette tremblante du vibromasseur jusqu’à ce qu’il atteigne l’œuf qu’elle couvait en elle.
L’objet lui étirait déjà délicieusement les parois ; la langue complétait la pénétration du tube maternel de la Bengali.
A travers l’écran qui lui filmait le visage, elle vit ses yeux remonter à l’objectif.
Puis tout à coup, il élança sa langue plus profondément en elle. De son puissant muscle il repoussa l’œuf contre le fond de sa grotte en liquéfaction.
La nouvelle pression décupla les sensations d’extase. Elle gémit bruyamment.
Par mouvement réflexe, ses deux cuisses perforées en leur centre voulurent se resserrer contre les tempes du mâle. Mais sous l’œil de la caméra, le britannique lui attrapa fermement les genoux et les écarta avec une force contre laquelle la frêle indienne ne pouvait que ployer.
Elle filma sa lutte cependant, tentant vainement de refermer ses cuisses. Mais elle cédait contre la puissance masculine des bras qui l’ouvraient toute entière, étirant ses tendons comme une difficile position de yoga.
Se faisant, la pression de son vagin s’inversait. L’œuf qu’elle avait aspiré en elle s’en retrouvait repoussé par les muqueuses qui se contractaient. Elle le sentait couler vers la sortie, accompagné des furieuses vibrassions qui lui emportaient tout le bassin.
Aayra geignait. Sa respiration inégale soulevait ses seins et chantait hors de sa gorge. Ses deux jambes maintenues écartées à la limite de lui faire mal tressaillaient en l’air et entre elles, Matthew la bouffait goulûment.
Le plat de sa langue avait retrouvé le chemin de son clitoris, embrasant le délicat bourgeon dans des bruits de succion sonores.
La cordelette grandissait hors d’elle, poussant comme l’orgasme fleurissait dans l’antre de son bas-ventre.
Enfin, l’œuf que ses contractions poussaient hors d’elle atteignait bycasino l’embouchure dégoulinante de sa vulve. Il charriait avec lui un flot aqueux de cyprine chaude et gluante.
Les vibrations se propagèrent tout le long de la fente sombre de la Bengali, secouant violemment la surface de ses délicates petites lèvres.
L’homme sentit la furie bouillante de l’objet à travers sa bouche qu’il employait masser le clitoris d’Aarya. Toute ces sensations simultanées se démultipliaient et l’indienne dévorée gémissait comme une animale éperdue.
Le fil de l’orgasme se tendait à travers son corps. Aarya le sentait venir, immense, grandiose. Il avançait lentement sans que rien ne puisse plus l’arrêter, étourdissant ses membres et ses organes.
Puis soudain, alors que le vibromasseur était à demi sorti de sa chatte fondante, elle senti son amant redescendre la langue. Il embrassait l’objet huilé de son magma maternel à pleine bouche.
Sans qu’elle n’eût le temps de se demander ce qu’il fabriquait, elle le sentit repousser l’œuf vibrant vers sa grotte. Faisant fi de la pression interne de son organe génital, Matthew l’engrossait avec cet objet, glissant la quenelle de silicone entre ses cuisses jusqu’à la lui faire avaler à nouveau.
Une fois le vibromasseur forcé entre ses parois tendues, il lui lécha la fente de bas en haut en avalant bruyamment ses coulées de cyprines chaudes.
Elle sentait l’œuf lui pulvériser les muqueuses internes. Son corps à l’agonie le rejetait hors d’elle, et dès que son tube triomphait du vibromasseur, cette langue impitoyable le repoussait puissamment au fond de sa vulve.
Il la nourrissait de force de cette infernale pilule, encore et encore, écartant les deux cuisses plus fort pour l’en faire sortir et la repoussant en elle dès qu’elle lui donnait naissance.
Le vas-et-vient forcé embrasait son appétit félin. Aarya n’en pouvait plus. Ce jeu durait depuis quelques interminables minutes. Elle transpirait. Elle tremblait. Elle n’était presque plus capable de soutenir la caméra de sa main droite.
Puis tout à coup, un ultime caprice de la langue de son mâle lui décalotta le sensible clitoris. L’orgasme planta ses griffes en elle, le feu emportait sa vulve. Elle expulsa sa dernière respiration dans un chant clair et cristallin.
Plus bycasino giris rien n’arrêterait le triomphale épanchement de plaisir. La Bengali se laissait fondre sous la langue de Matthew.
Aarya se senti craquer. La pression était devenue trop forte. Enfin le flux de l’orgasme la traversait toute entière.
Son corps avait lutté pour se contenir, mais en vain : un irrépressible jet d’eau fusa tout à coup de son urètre. Sa brulante éjaculation aspergea le visage masculin qui la dévorait. Il ne s’arrêta pas. Il l’avalerait jusqu’à la dernière fibre d’extase, léchant tous les replis ruisselants de sa chatte jusqu’à la dernière étincelle qui animait ses nerfs.
Sa vulve désespérément engloutie par la langue de l’homme et broyée par les vibrations se vidait de ses eaux alors que ses poumons déversaient de leur air à travers ses cordes vocales.
Elle laissait son flux aqueux fuser sur son mâle, l’éclabousser sans retenue. Ses deux jambes forcées grandes ouvertes se tendaient et s’agitaient, son sexe se contractait, ses chants s’espaçaient.
Toute cette paillarde mélodie se jouait sous l’œil impassible du caméscope.
Elle évacuait ses derniers geysers d’argent immédiatement bus par son britannique, se félicitant déjà d’avoir choisi ce jour pour filmer leurs exploits.
Elle se décontracta, sentant lentement mourir le feu de l’orgasme dans le creux de ses reins. Même avec son Matthew ce n’était pas tous les jours qu’elle atteignait le niveau d’extase sublime qui la transformait en fontaine.
La langue s’immobilisa enfin, emmêlée toute entre les plis de ses sensibles tissus abattus par la violence de son plaisir.
Les vibrations s’éteignirent, la caméra tournait toujours.
Filmer ces fugaces instants de grâce, ce flottement à la limite de l’extase évanescant et de la ferme réalité, c’était l’indispensable épilogue de chacune de ses œuvres. Elle captura le visage de Matthew, repus, balafré de ses jus maternels, émergeant d’entre des deux cuisses chataîgnes qu’il relâchait enfin.
L’indienne senti ses deux jambes tendues comme des ressorts retrouver d’elles-mêmes un angle plus confortable.
Ils laissèrent un moment de silence se reposer sur la pièce, le soleil d’or reprendre sa course paresseuse sur les draps défaits et souillés bycasino giriş de leur lit.
Matthew s’étira, Aarya baillait.
Se tenant à demi relevée, en appui sur ses coudes plantés dans le matelas, la position de la Bengali était presque similaire à celle d’un accouchement. Et pour cause : son vagin était toujours comblé par l’œuf, inerte, dont la cordelette noire ressortait toujours d’entre ses cuisses.
Matthew prit une inspiration flegmatique, considérant la vulve épuisée et offerte sous ses yeux. Il releva le torse et attrapa sans un mot le caméscope toujours allumé de la main de son Amante.
Il se tint à genoux face à la femme qui l’observait d’un air curieux. Puis il retourna l’objectif vers elle, saisissant ce corps sombre et magnifique, abandonné au milieu du lit et sur lequel l’astre solaire déversait ses rayons d’Avril. Il positionna soigneusement l’objectif, composant la scène tel un tableau de la renaissance, quoi que plus grivois.
Aarya ne bougeait pas, un sourire presqu’imperceptible traversait sa petite bouche à demi ouverte qui soufflait ses flux d’air exténués. C’était un sourire approbateur, presque surpris que Matthew s’approprie si bien la caméra.
Protagoniste principale de cette œuvre, l’indienne laissait patiemment son maître dépeindre chaque détail de son corps nu, obscène, dissolu comme un ange dépravé renvoyé des cieux.
Les yeux brillants fixant l’objectif avec un air à la fois las et aguicheur, elle porta sa main libre à sa bouche en se mordillant l’index de ses petites quenottes blanches.
Un long instant silencieux et indolent s’écoula, avant que le ciel ne se referme sur l’être céleste. Un nuage chassa les rayons étincelants et la pièce redevint grise.
Aarya pencha la tête sur le côté, le britannique sortait de sa contemplation.
Il se rapprocha d’entre ses deux jambes ouvertes, capturant sa vulve nue, ouverte, en gros plan. De son autre main, il passa deux doigts dans la boucle qui dépassait hors de ses petites lèvres, et lentement, il tira sur la cordelette.
Aarya senti l’œuf résister au fond de sa vulve. Son corps au repos le maintenait au chaud et ne semblait plus vouloir le rendre. La sensation un peu désagréable la fit grimacer et Matthew qui tirait doucement sur le fil enregistrait chacune des réactions qui traversait son visage.
Elle fit un effort pour expulser l’intrus hors de sa chaude tanière, pondre l’objet gros comme une pierre qui l’avait comblé de plaisir quelques minutes auparavant. Bientôt, sous l’objectif de Matthew naissait le bulbe noir entre ses lèvres satinées.